Marianne BOSC, l’incandescente.
Marianne a toujours eu la flamme pour le droit. Elle commence ses études par un DUT carrières juridiques à l’Institut Universitaire de Narbonne. Après avoir brillé lors de celui-ci elle décide de rallier une Licence en Droit Public, qu’elle obtiendra avec tout autant de réussite. Décidée à poursuivre ses études Marianne choisit de mettre le feu à la ville rose, et l’Université de Toulouse Capitole n’en restera pas indemne. Après avoir obtenu un Master I Droit international et Européen elle intègre l’année suivante le M2 droit des Libertés. En parallèle Marianne a toujours eu le journalisme dans la peau, elle a d’ailleurs réalisé une partie de ses stages dans ce domaine, et participé à l’association Europa Toulouse en tant que telle. Motivée et dynamique, Marianne n’a pas sa langue dans la poche. Ses proches, comme les personnes qu’elle débecte, pourront en témoigner. C’est donc tout naturellement qu’elle décide de réunir ses aptitudes professionnelles et sa personnalité pour les mettre au service du Blog des Libertés. Intrépide, elle souhaite se diriger à l’avenir vers une carrière de juriste dans l’armée.
L’info inutile : Marianne a le permis moto, une vraie free-bikeuse.
Klervi AUGEREAU DELARBRE, la bretonne.
Klervi a commencé ses études en droit avec une idée en tête : rendre son indépendance à la Bretagne. C’est dans cette perspective qu’elle débute ses études par une Licence en Droit à l’Université de Nantes. Une fois celle-ci obtenue, Klervi décide de prendre le maquis Toulousain, et intègre le Master I Droit International et Européen de l’Université Toulouse Capitole. Avide de voir sa Bretagne natale libérée, c’est tout naturellement qu’elle entrera par la suite dans le Master 2 Droit des Libertés. Sa collaboration au Blog des Libertés fut d’ailleurs motivée par cette idée pacifique. En effet, Klervi a l’an passé été condamnée pour un attentat à la galette saucisse dans le hall de l’Université. Cette année elle choisit donc la plume au beurre salé. Joviale et déterminée, Klervi risque de nous faire partager son opinion bien trempée des libertés. Et laissez nous vous dire, qu’hormis la défense de ses idées, rien ne saurait laisser cette Bretonne aguerrie sortir le nez de son pot de Madame Loïk. Dans un futur proche, Klervi aimerait postuler au sein des institutions européennes. La petite Bretagne viendra peut-être bientôt remplacer la Grande au Parlement européen, qui sait.
L’info inutile : Klervi signifie « Petit-Bijou » en Breton.
Valentine ARNEODO, l’omnisciente.
Une Licence obtenue à l’Université Toulouse Capitole, Valentine souhaite changer d’air. Déjà la protection des libertés fondamentales est pour elle une absolue nécessité. Elle décide alors de réaliser son Master I dans ce domaine à l’Université de Strasbourg, avec déjà la Cour européenne des droits de l’Homme en ligne de mire. Mais Toulouse, son foie gras, ses cassoulets, et ses briques la rendent nostalgique. Madeleine de Proust dans la poche, Valentine décide alors de faire une dernière escale par l’Université Capitole. Elle intègre donc le Master II Droit des Libertés local. Néanmoins, elle ne peut se résoudre à choisir entre le parcours Droit de la Personne et Systèmes de Protection. Alors, pour ne rien rater, tout découvrir, tout connaître, Valentine décide de suivre les deux. Il n’y avait sans doute qu’elle pour être assez organisée et déterminée pour concilier deux parcours, un emploi à l’administration de la faculté, et le concours Cassin 2021. Parce que oui, en parallèle Valentine fait partie de l’équipe de plaidoirie qui représentera l’Université. Qui plus est, elle se destine à devenir avocate dans les contentieux européens des droits de l’Homme. La chance que nous avons eue, c’est qu’il lui restait un petit créneau dans son agenda pour mettre ses talents au service du Blog des Libertés. Histoire de nous organiser.
L’info inutile : Valentine assure dans son CV maitriser le Pack Office. Elle est également une experte dans l’utilisation de Google Drive.
Loélia ESPEILHAC, l’exploratrice.
Loélia débute ses aventures en droit à l’Université Jean-François Champollion d’Albi par une Licence en Droit Privé. Mais Loélia décide de dire Adieu à sa cathédrale, et de voir plus grand. Elle débarque sur Toulouse pleine d’ambitions, avec une valise déjà lourde d’expériences professionnelles. Lors de ses stages et emplois étudiants, elle s’est déjà frottée au droit de la famille, au droit des contrats, et même à l’enfer : les finances publiques. Malgré déjà un panel des plus diversifiés Loélia décide de continuer son exploration du Droit. Elle se pose le temps d’un Master I en Droit Pénal. Mais le pénal ne suffit à tarir sa soif de connaissances. Alors en plus de la boxe française et de la gymnastique rythmique, elle milite bénévolement pour Amnesty International et Green Peace, tout en perfectionnant son espagnol. Mais ce n’est toujours pas suffisant pour cette aventurière juridique. Sa curiosité la pousse logiquement à se pencher vers le M2 Droit des Libertés, et se dessine alors une envie. Celle d’être enseignante-chercheuse, avec pour ligne de mire les frontières inconnues du droit. Elle fait donc ses premiers pas dans la recherche avec pour thème de mémoire les libertés sexuelles en droit pénal, sous la direction de Monsieur le Professeur Antoine BOTTON. Elle nous fait l’honneur de partager ses premières découvertes dans les colonnes du Blog des Libertés.
L’info Inutile : Loélia a obtenu son brevet des collèges avec mention Bien au Collège Jacques Durand de Puylaurens en 2013.
Sarah LANAU, l’hyperactive.
Sarah c’est le top. Qu’importe le lieu, le domaine, la météo, Sarah s’engage à 200%. En témoigne son parcours. Après une Licence à Albi elle se dirige vers un Master I en Droit Privé à l’Université de Toulouse. Elle a déjà à son actif différents travaux de recherche, qui sont les suivants : « L’inviolabilité de l’Espèce humaine », « Le syndrome du bébé secoué » et « les conséquences juridiques de la disparition du joueur de football Emiliano Sala ». Mais elle n’en a pas pour autant oublié d’emmagasiner un maximum d’expériences pratiques, au travers de stages auprès d’un universitaire (Lionel Minato, Maître de Conférence en Droit Privé), d’un avocat (Maître Philippe Pressecq) ou d’un huissier de justice (Madame Agnès Cesbron). Pour cette surexcitée de l’enthousiasme, et sportive de haut niveau, une journée type commence à 5h du matin avec 3h de pratique du triathlon. S’en suit le repas, un délicieux entrée/plat/dessert hyper protéiné mixé dans un seul et même shaker. Et puis 10h de sa passion : le droit. Car Sarah a un rêve, celui de devenir enseignante-chercheuse. Alors au diable la LPR, « la recherche c’est le feu ! ». C’est dans cet optique que son mémoire de recherche portera sur « La collectivisation des droits de l’Homme » sous la direction de Monsieur le Professeur Joël ANDRIANTSIMBAZOVINA. On vous prévient, Sarah est plus que motivée pour publier dans nos colonnes aussi souvent qu’il lui sera permis !
L’info inutile : Sarah est bilingue en Occitan.
Margaux BARES-BOYA, l’érudite.
Cette passionnée de sport équestre (19 ans d’équitation, nom d’un canasson ! ) est une bible du droit. En effet, Margaux a traversé son parcours universitaire au triple galop ! Elle réalise sa Licence au sein de l’Université Toulouse Capitole, où elle fera d’ailleurs une partie de sa troisième année en Erasmus à la Queen’s University de Belfast. Elle file ensuite en Master I Droit International Européen, toujours à Toulouse. En parallèle de sa première année de master elle décide d’approfondir ses connaissances en géopolitique et en conflits internationaux, par l’acquisition d’un Diplôme Universitaire en Analyse des Conflits au sein de la même université. Elle réalise déjà un mini-mémoire sur « Les vices de consentement en droit des traités ». Elle décide ensuite d’intégrer le Master II Pratique des Droits Fondamentaux à l’Université d’Aix-Marseille. Là-bas, elle oriente sa recherche sur « L’esquisse d’un droit à la vérité par les juges de Strasbourg comme réponse au programme de restitutions extraordinaires organisé par la CIA » sous la direction de Monsieur Raphaël Déchaux, Maître de Conférences. Mécontente de ne posséder qu’un Master II, Margaux décide de remonter en selle. Dans l’optique de rendre visite à son premier amour, sa ville rose, elle intègre le Master II Droit des Libertés. Entre les boxes équestres et ses études, Margaux met à disposition du Blog des Libertés sa culture juridique et politique en sus de sa curiosité naturelle. Pour cette success-woman érudite, la prochaine étape sera très probablement l’obtention du CRFPA.
L’info inutile : Elle est la maman d’un Bel Hongre (race de cheval paraît-il) au doux nom de « Don Fabuloso ».
Léa CAZENAVE, la locale.
Ne vous y trompez pas ! Léa n’a peut-être pas d’accent, mais elle est bien Toulousaine ! Alors oui, certes, elle est d’origine Belge, mais elle préfère Claude Nougaro à Jacques Brel. Vous l’aurez compris, Léa a fait la totalité de ses études à l’Université Toulouse Capitole, avec une réussite indéniable ! Après une Licence en Droit Public, elle s’oriente vers le Master I Droit International et Européen, avec déjà l’idée en tête d’intégrer le Master II Droit des Libertés de l’université. Idée concrétisée donc. Elle complète sa formation par un MOOC à l’Université de Genève, via l’étude de thématiques comme la laïcité, la notion de juste, ou la philosophie éthique. En parallèle Léa s’est elle aussi entichée des cercles de l’enfer en travaillant pour la direction régionale des finances publiques toulousaines. « Un esprit sain dans un corps sain » tel est son crédo. Léa mêle ainsi son envie d’apprendre à une pratique assidue de la musculation. Cette globetrotteuse aime découvrir, en mélangeant les cultures. Sa dernière trouvaille ? Les frites au Ricard. Cette amoureuse de malte et d’avoine (le sang Belge, ça ne s’invente pas) oriente son mémoire de recherche sur « l’encadrement de la déontologie des forces de l’ordre » sous la direction de Madame Julia SCHMITZ. Léa met donc à contribution la totalité de ses découvertes, culinaires, linguistiques, et juridiques dans ses travaux pour le Blog des Libertés. À l’avenir elle souhaiterait rédiger une thèse dans la perspective de devenir enseignante-chercheuse. Et devinez où ? À Toulouse bien évidemment ! « Ô mon paîs, ô Toulouse, ôhooo Toulouse »…
L’info inutile : Supportrice invétérée de Manchester City (football) et du Jazz de l’Utah (Basket-Ball). Oui, choix étrange, mais louable à la vue des résultats des deux équipes au moment d’écrire ces lignes.
Charles ROBERT, Dieu (ou CR6).
Il est beau, il est grand, il est fort, les femmes le désirent et les hommes l’envient (l’inverse est tout aussi juste). Souvent comparé, et confondu, avec James Dean, Jacques Dutronc, ou encore Lambert Wilson (dans la Boum 2), son physique ne le résume pas. En effet, en plus du charme et de l’humour, son charisme n’a d’égal que son intelligence. Orateur invétéré, son parcours est des plus atypiques. En effet, à la sortie de sa Licence en Droit réalisée entre l’Université d’Angers et l’Université de Galatasaray d’Istanbul, Charles est face à un dilemme. Poursuivre sa formation de footballeur professionnel au sein du SCO-d’Angers, ou continuer ses études. Sur les conseils de son ami Cristiano RONALDO, il décide de prendre une année de césure. Il réalise alors un documentaire sur les conditions de vie et d’accueil des demandeurs d’asile en France. Il se perd ensuite dans un Master en Droit des Affaires à l’Université Jean Moulin de Lyon III. Après obtention, il s’en désintéresse et décide de travailler dans des cabinets spécialisés en droit des étrangers à Nantes et Toulouse, avant de reprendre une formation. Cette année il réalise donc un double diplôme, un M2 en Droit International et Européen à Angers, tout en effectuant le M2 Droit des Libertés à l’Université de Toulouse Capitole. Son mémoire de recherche à Toulouse portera sur les droits culturels sous la direction de Monsieur le Professeur Mathieu TOUZEIL-DIVINA, tandis qu’à Angers il réalisera son mémoire sur un sujet connexe avec Monsieur Yannick LECUYER. Sa seule présence au sein du Blog des Libertés garantit, en France comme à l’international, la qualité des travaux rédigés dans ces colonnes.
L’info inutile : Ce portrait a été réalisé par Charles lui-même, aucun des membres du Blog des Libertés ne corroborent la véracité de celui-ci.
L’ensemble des portraits ont été réalisé par Charles ROBERT